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équipe de hongrie de football

Lors des éliminatoires de l'Euro 2008, la Hongrie tombe sur l'équipe tenante du titre, la Grèce[119]. En effet, Sebes révolutionne les habitudes de l'époque puisqu'il inverse complètement les fonctions et les positions de l'avant centre (portant traditionnellement le numéro 9) et des inters (numéros 8 et 10), le numéro 9 se retirant du front de l'attaque au profit des numéros 8 et 10[36]. Dominateurs en première période, les Hongrois manquent de réalisme, et s'inclinent finalement quatre buts à un[81],[82]. Membre du Onze d'or mais pas le plus connu, Bozsik remporte le titre olympique et termine finaliste de la Coupe du monde[157]. La Hongrie n'a participé qu'à trois reprises à la phase finale du Championnat d'Europe, sur quinze éditions. Cette campagne qualificative fut notamment marquée par des performances très ternes à l'extérieur, dont un match nul surprenant sur la pelouse des îles Féroé (0-0) et une défaite en Andorre (0-1)[131]. La personnalité marquée des autres joueurs, comme Grosics, Hidegkuti ou Czibor, a également contribué au rayonnement posthume de l'équipe de 1954[198]. En 1927, les Hongrois participent à l'édition inaugurale de la Coupe internationale européenne, qui rassemble plusieurs sélections d'Europe centrale. La Hongrie s'ouvre cependant à de nouveaux adversaires, issus de pays n'ayant pas participé directement au conflit, comme la Pologne[note 1] en 1921 ou la Finlande[note 2] en 1922. Au premier tour, elle rejoint le groupe le plus ardu, composé de l'Argentine, sélection d'un pays-hôte dont la junte militaire au pouvoir attend la victoire, l'Italie et la France[A 18]. Quelques mois après son élimination à la Coupe du monde, en avril 1998, la Hongrie remporte la LG Cup, tournoi amical se déroulant dans des pays musulmans, après avoir éliminé l'Iran puis la Macédoine[113]. Joueur le plus capé avec 101 sélections, Bozsik marque notamment la sélection par sa créativité et sa technique[157]. Durant le conflit et juste après, la Hongrie n'affronte pratiquement plus que son allié au sein de l'Empire austro-hongrois : en effet, entre octobre 1914 et mai 1920, vingt-deux des vingt-trois matchs amicaux qu'elle dispute le sont contre l'Autriche[6]. Le projet du Nouveau Stade Ferenc-Puskás est mis en place pour remplacer le vétuste stade Ferenc-Puskás et les premières études sont menées au début des années 2010[176]. Elle a joué sur tous les continents : en Afrique (dès 1932 au Caire contre les Pharaons), en Océanie (lors de deux rencontres amicales gagnées face à la Nouvelle-Zélande en septembre 1982[183]), en Asie (pour les Jeux olympiques 1964 et la Coupe Kirin 1993 remportée au Japon), et en Amérique avec, outre des tournées amicales, les trois Coupes du monde disputées sur le continent américain (Chili 1962, Argentine 1978 et Mexique 1986) et le tournoi olympique de Mexico en 1968. La sélection magyare retrouve des couleurs lors des éliminatoires de la Coupe du monde de 1998, où la sélection, avec le jeune et prometteur gardien de but Gábor Király[111], termine deuxième de son groupe et doit affronter la Yougoslavie en match de barrage ; l'équipe est toutefois balayée 1 à 12 au score cumulé des matchs aller et retour[112]. Les armoiries de la Hongrie, au contraire de nombreuses autres sélections, figurent sur le maillot de la sélection nationale, au niveau du cœur[232]. Si le film est centré sur le parcours de l'équipe de l'Allemagne de l'Ouest, en pleine reconstruction après la Seconde Guerre mondiale, le film évoque également les matchs contre la sélection hongroise[200]. Selon le film, lors de la finale, les Allemands bénéficient d'un avantage à propos du terrain. Issu du Budapest Honvéd comme nombre de ses coéquipiers internationaux[A 14], Puskás fait ses débuts internationaux à seulement 18 ans, en 1945[144]. En 1947 puis en 1948, elle participe à la Coupe des Balkans, qui oppose traditionnellement la Yougoslavie, la Roumanie, la Bulgarie ainsi que des nations voisines, mais qui ces fois-là est étendue à l'Europe centrale. La sélection fait son retour sur la scène internationale lors du championnat d'Europe 2016. En plus des scores de Ferencvaros, vous pouvez suivre +de 5000 compétitions dans +de 30 sports autour du monde sur FlashScore.fr. Portés par un Albert au sommet de son art[52], et face à une équipe privée de son maître à jouer Pelé, blessé, les Magyars l'emportent trois buts à un après un match remarquable[70],[71]. L'Euro est plutôt une réussite pour l'équipe, qui réussit à sortir des poules, qui plus est en terminant à la première place et invaincue, en ayant notamment tenu en échec le Portugal, futur vainqueur de la compétition, au terme d'un match spectaculaire (3-3, après avoir à chaque fois mené au score)[128]. Après les Jeux, en juillet 1912, les hommes de Herczog, menés par leurs avants Gáspár Borbás et Schlosser-Lakatos, se déplacent à Moscou pour jouer deux matchs amicaux face à la Russie impériale, qu'ils battent facilement (9-0[13] et 12-0[14]). Le monde découvre cette équipe aux Jeux olympiques d'Helsinki en 1952, où la Hongrie, devenue communiste, envoie sa sélection A : les clubs hongrois étant soutenus par des organisations d'état, les joueurs sont assimilés à des fonctionnaires et peuvent ainsi contourner les statuts olympiques interdisant le tournoi aux joueurs professionnels. L'année suivante, elle participe pour la première fois au tournoi olympique[10], organisé à Stockholm. Ils parviennent à terminer troisièmes de leur poule avant de s'imposer face à la Norvège à l'aller comme au retour lors des barrages, ce qui permet à la sélection dirigée par l'Allemand Bernd Storck de se qualifier pour son premier tournoi international depuis trente ans. Devenant de plus en plus compétitifs, les Magyars remportent les Jeux olympiques de 1952 et les observateurs ne tarissent pas d'éloges sur Puskás, capitaine et buteur de l'équipe, qui est rapidement considéré comme « l'un des meilleurs footballeurs au monde », mettant en avant ses capacités exceptionnelles de dribbleur[A 15]. La remontée au classement FIFA de la Hongrie montre le léger renouveau des Magyars, 32es en 2012[109]. En 2016, quarante-quatre ans après son dernier match en phase finale, les Hongrois parviennent à nouveau à se qualifier pour l'Euro en France. L'équipementier de la sélection nationale est en 2015 Adidas[232]. La Hongrie, triple médaille d'or olympique de football en 1952, 1964 et 1968, est toujours la nation la plus titrée des Jeux olympiques, devant la Grande-Bretagne[note 5], l'Uruguay, l'Union soviétique et l'Argentine, vainqueurs à deux reprises[193]. Durant la Seconde Guerre mondiale, il dirige plusieurs formations modestes de la capitale. Le stade est sélectionné par l'Union des associations européennes de football pour accueillir l'Euro 2020 au même titre que douze autres stades européens ; le nouveau stade devrait accueillir trois matchs de poules et un huitième de finale[178]. Gravement blessé en 1969, il ne retrouve les terrains que deux ans plus tard[60]. Cette rencontre est considérée comme un tournant de l'histoire du football[33],[36] et est qualifiée par la presse britannique de « match of the century » (en français : « match du siècle »)[39]. Suite à cet échec, Bernd Storck est limogé, et remplacé par le Belge Georges Leekens, ancien sélectionneur de l'Algérie, qui a pour objectif la qualification pour l'Euro 2020[132],[133]. N'ayant perdu qu'un match sur quarante-huit entre le 14 mai 1950 et le 19 février 1956, l'équipe de Hongrie de cette période est souvent associée à un « mythe »[197]. Dans les derniers instants du match, Ferenc Puskás croit égaliser mais l'arbitre refuse son but pour un hors-jeu contesté[43]. La légende veut que la Hongrie ait laissé la Squadra Azzurra s'imposer, après les menaces de sanction du leader fasciste italien, Benito Mussolini, à ses joueurs, en cas de défaite : « On a pris quatre buts, mais au moins on leur a sauvé la vie », — Antal Szabó (gardien de la Hongrie), à l'issue de la finale perdue face à l'Italie (2-4)[24],[25]. La sélection manque tour à tour la qualification à la Coupe du monde de 1974, où elle est devancée à la différence de buts par la Suède et l'Autriche, et à l'Euro 1976, au cours de laquelle elle s'incline deux fois face au pays de Galles. Officiellement, il joue jusqu'à sa mort, en 2014, avec Ferencváros, car, en hommage, le club hongrois fait figurer son nom chaque saison dans la liste de joueurs transmise à la fédération nationale[159]. Après la déception de la Coupe du monde de 1934, Dietz remplace Ödön Nádas[B 8]. La sélection hongroise participe aux six éditions de la Coupe internationale européenne, lancée en 1927 et dont la dernière édition s'achève en 1960, au moment où la Coupe d'Europe des nations est disputée pour la première fois. En grisé, l'équipe de Hongrie ne dispute pas la compétition en question. Une partie de la société hongroise, particulièrement la haute société magyare, se montre toutefois réticente au développement de ce sport « répugnant », en raison de sa nature supposée violente et très physique, voire « non civilisée »[3]. Lors de la phase qualificative de la Coupe du monde 2006, la Hongrie termine en milieu de tableau de son groupe, accompagnée de la Bulgarie, avec dix points de retard sur les deux premiers et dix points d'avance sur le cinquième[118]. La Hongrie, à l'instar d'autres pays européens et de l'Uruguay, qui s'apprête à fêter le centenaire de son indépendance et dont la sélection est double championne olympique en titre, dépose alors sa candidature pour accueillir le tournoi, prévu en 1930[17]. À leur retour en Europe, Puskás, Czibor et Kocsis choisissent de ne pas retourner en Hongrie. La différence de buts (+14) et le nombre de buts inscrits à l'issue du premier tour (17) n'ont jamais été approchés depuis. C'est notamment au Üllői úti Stadion que se déroule l'une des victoires les plus larges des Magyars (13-1), face à la France, en 1927[A 7]. Elle concède à Vienne face à son homologue autrichienne, dont c'est également la première sortie, une défaite 5-0[4],[A 1]. Après la fondation de la Fédération hongroise en 1901, l'équipe nationale dispute la première rencontre de son histoire en 1902 face à l'Autriche. N'ayant besoin que d'un nul face à la Bulgarie pour poursuivre la compétition, les Hongrois, pourtant menés au score pendant une demi-heure, s'imposent sans forcer (3-1)[69]. La Hongrie a connu son meilleur classement FIFA en avril 2016 et en mai 2016 en atteignant la 18e place. C'est cette liberté rendue aux joueurs, par rapport au dispositif en « WM » qui demande une rigueur et une répartition précise des rôles sur le terrain, qui est mise en avant pour expliquer notamment les victoires retentissantes contre l'Angleterre en 1953 et 1954[36]. Elle consiste en une sélection des meilleurs joueurs hongrois. Au retour, les Soviétiques, futurs vainqueurs de l'épreuve, l'emportent encore (1-0)[57]. En hommage à son prestige en tant que buteur, la FIFA crée en 2009 le Prix Puskás, qui récompense le plus beau but de l'année parmi une sélection de dix buts que les internautes doivent départager[145]. Le monde découvre cette équipe aux Jeux olympiques d'Helsinki en 1952, où la Hongrie, devenue communiste, envoie sa sélection A : les clubs hongrois étant soutenus par des organisations d'état, les joueurs sont assimilés à des fonctionnaires et peuvent ainsi contourner les statuts olympiques interdisant le tournoi aux joueurs professionnels. Comme nombre de ses coéquipiers, Kocsis s'exile en 1956 et rejoint le FC Barcelone. Quelques mois après le championnat d'Europe, la Hongrie participe aux Jeux olympiques de Tokyo, où, comme les autres pays de l'Est, elle envoie ses meilleurs joueurs n'ayant pas disputé la dernière Coupe du monde, à l'image de Dezső Novák et Ferenc Bene qui sont les piliers de cette sélection olympique. Elle remporte d'ailleurs très largement ses deux premiers matchs, contre la Corée du Sud, battue 9-0[42], et l'Allemagne de l'Ouest, battue 8-3[43]. Le tableau suivant liste le palmarès de l'équipe de Hongrie de football dans les différentes compétitions internationales officielles. ‎Ambassade de Hongrie en Tunisie - سفارة المجر بتونس‎, Tunis. Lors d'un match de la Coupe internationale 1936-1938, il inscrit sept buts contre la Tchécoslovaquie[151]. Équipe de Hongrie de football. Elle a néanmoins réussi quelques performances mais toujours à l'occasion de matchs amicaux : deux victoires, contre l'Allemagne en 2004 et l'Italie en 2007. Les Magyars font bonne figure mais doivent s'incliner, sur deux doublés des avants Gino Colaussi et Silvio Piola[23], pour un score final de quatre buts à deux[A 12]. Les Hongrois affrontent ensuite l'Uruguay, tenant du titre, pour un match prévu comme « intense et spécial », du fait de la force des deux formations[42]. Après un léger sursaut à la suite de ses performances honorables aux qualifications de l'Euro 2004, la Hongrie redescend au-delà de la 70e place du classement FIFA en 2005[109]. Sándor Kocsis est aussi un des attaquants principaux du Onze d'or. En réaction, la Fédération hongroise, tout comme les autres nations candidates à l'organisation, n'envoie aucune délégation à cette première édition de la Coupe du monde, qui remporte malgré tout un franc succès populaire[16]. La Hongrie affronte ensuite le Brésil, invaincu en Coupe du monde depuis le quart de finale de 1954 perdu face à la Hongrie. Cette rencontre est considérée comme un tournant de l'histoire du football[33],[36] et est qualifiée par la presse britannique de « match of the century » (en français : « match du siècle »)[39]. Ferenc Puskás est l'un des meilleurs éléments du Onze d'or hongrois dans les années 1950. Les Hongrois s'imposent aisément (6-0)[22], puis écartent la Suisse en quarts de finale (2-0), faisant ainsi mieux que lors du mondial précédent. Elle concède à Vienne face à son homologue autrichienne, dont c'est également la première sortie, une défaite 5-0[4],[A 1]. Classement mondial et européen année après année : De 1960 à 1976 les quarts de finale (et éventuels huitièmes de finale) sont disputés hors tournoi. Line: 24 Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. Si Puskás loue le régime communiste hongrois, son coéquipier Gyula Grosics déclare au contraire, que les « victoires hongroises ne pouvaient pas être attribuées aux idéologies politiques », mais que les politiciens ont su « exploiter le succès du football pour eux-mêmes »[35]. En quart de finale elle bat le Guatemala (1-0) puis le Japon en demi-finale (5-0), avant de triompher en finale de la Bulgarie (4-1)[77] lors d'un match mouvementé, marqué par plusieurs expulsions du côté bulgare[78]. FlashScore.fr offre les résultats de Ferencvaros, et les détails de matchs. Mais, aidés par leurs crampons en bois vissés sous leurs chaussures Adidas, ils remportent la Coupe du monde, au détriment de la Hongrie[201]. À la fin des années 1940, László Kubala est considéré comme l'un des plus talentueux attaquant du pays, bien qu'il ne joue que trois matchs pour les Magyars en 1948 ; il portera en effet les couleurs de trois équipes nationales différentes dans sa carrière[A 20]. Function: _error_handler, File: /home/ah0ejbmyowku/public_html/application/views/user/popup_harry_book.php Lors de son premier match, face aux vice-champions du monde en titre suédois, il inscrit un doublé, donnant la victoire aux siens (3-2)[60]. L'histoire de cette équipe hongroise de légende prend fin le 23 octobre 1956, quand les chars russes entrent à Budapest pour écraser l'insurrection hongroise. La dite "phase finale" ne concerne que le dernier carré : demi-finales, match pour la 3e place et finale. Line: 478 Après ce nouvel échec, la fédération hongroise se montre ambitieuse en engageant l'ancien international néerlandais Erwin Koeman comme sélectionneur[121]. Elle se qualifie à la Coupe du monde de 1978 en devançant l'Union soviétique - une première en compétition[6] - puis en battant largement la Bolivie en barrage intercontinental[92]. Il fait partie de l'équipe-type de la Coupe du monde de 1954[158]. Elle consiste en une sélection des meilleurs joueurs hongrois. Quelques mois après l'échec de l'Euro 1968, la Hongrie défend sa médaille d'or olympique aux Jeux de Mexico. Lors de la Coupe du monde de 1954, Kocsis permet notamment aux Magyars d'atteindre la finale en inscrivant un doublé en prolongations en demi-finale[42]. Novák devient le premier footballeur à avoir remporté trois médailles olympiques (l'or en 1964 et 1968, le bronze en 1960), un exploit resté inégalé depuis[78]. Affiliée à la FIFA à partir de 1907, la sélection hongroise dispute sa première compétition internationale lors des Jeux olympiques d'été de 1912 en finissant quart-de-finaliste. Quelques mois après le championnat d'Europe, la Hongrie participe aux Jeux olympiques de Tokyo, où, comme les autres pays de l'Est, elle envoie ses meilleurs joueurs n'ayant pas disputé la dernière Coupe du monde, à l'image de Dezső Novák et Ferenc Bene qui sont les piliers de cette sélection olympique. La stratégie des années 1960 atteint son acmé lors du match Brésil - Hongrie du 15 juillet 1966, considéré comme l'un des « plus beaux » de l'histoire[219]. Euro 2020 : La Hongrie se qualifie et rejoint le groupe de l’équipe de France. Les 27 buts inscrits par le Onze d'or lors de la Coupe du monde 1954 restent le record de buts inscrits par une équipe lors d'une phase finale[97]. Ce n'est que lors des campagnes de qualifications pour la Coupe du monde 2014 puis de l'Euro 2016 que des tensions extra-sportives, surtout dans les tribunes ou les abords de stades, ont fait leur apparition[227], chaque camp revendiquant de façon plus ou moins virulente la Transylvanie[228]. Elle remporte le premier de ces deux tournois, devant la Yougoslavie, tandis que le deuxième est interrompu alors qu'elle en occupe la tête[27]. Alors que le football devient un enjeu économique, la Hongrie ne suit pas le mouvement et reste un peu en retrait de ses voisins européens[3]. Lors du premier tour, au stade Giorgio-Ascarelli de Naples, la sélection hongroise domine l'Égypte (4-2), mais elle s'incline dès les quarts de finale contre la Wunderteam autrichienne (1-2), après l'expulsion d'Imre Markos à l'heure de jeu. Novák, Ferenc Bene, auteur de deux buts en phase finale, et Flórián Albert, omniprésent dans le jeu hongrois, figurent dans l'équipe-type du tournoi[63]. Profitant de deux erreurs du gardien hongrois József Gelei[72], les Soviétiques marquent au début de chaque période, tandis que leur fameux gardien de but Lev Yachine, malgré ses 37 ans, arrête les nombreux tirs hongrois[B 3], permettant aux siens de s'imposer deux buts à un[73]. Si sa victoire face au Canada (2-0) lui donne un peu d'espoir, l'équipe est balayée lors du match décisif par la France, candidat déclaré à la victoire (3-0)[100]. Lors de la demi-finale, les Hongrois surclassent la Suède, qui avait pourtant ouvert le score sur sa première occasion (5-1)[B 1]. Lors des éliminatoires du Championnat d'Europe 1968, la Hongrie termine en tête de son groupe, devançant l'Allemagne de l'Est, les Pays-Bas et le Danemark[74]. Le tableau suivant liste le palmarès de l'équipe de Hongrie de football dans les différentes compétitions internationales officielles. En 1999, la FIFA décide que les matchs de football disputés dans le cadre des Jeux olympiques à partir des Jeux olympiques de Rome de 1960 ne comptent pas comme sélections nationales en équipe A et à partir de 1992, les phases finales des Jeux olympiques sont disputés par les sélections des moins de 23 ans. Les Argentins prennent finalement l'avantage en fin de match par Daniel Bertoni, donné blessé mais entré en cours de partie[B 4]. La Hongrie se lie avec la Fédération internationale de football association (FIFA), fondée en 1904, et en devient membre en 1906[2] lors de son troisième congrès, organisé à Berne, ou, selon les sources, en 1907[7]. Dès le lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la sélection hongroise retrouve les terrains. Si elle a affronté la quasi-totalité des nations européennes (en dehors de Gibraltar et du Kosovo) et sud-américaines (à l'exception du Venezuela et l'Équateur), les rencontres contre des sélections africaines sont beaucoup plus rares : seulement huit, dont six face à l'Égypte. Malgré la déception de ne pas être couronné champion du monde, Sebes est maintenu à son poste. La sélection affiche un bilan de 3 victoires, 2 matchs nuls et une défaite (à domicile contre la Russie 2-3). Il ne sera plus sélectionné qu'une fois en 1974, lors d'un match jubilé[80]. Après un léger sursaut à la suite de ses performances honorables aux qualifications de l'Euro 2004, la Hongrie redescend au-delà de la 70e place du classement FIFA en 2005[109]. Privés de leur meneur, qui ne portera plus le maillot de la sélection pendant deux ans, mais avec un Ferenc Bene étincelant[B 2], les Hongrois terminent à égalité de points avec la Tchécoslovaquie. Ainsi, un journal de Budapest tente de discréditer le football en annonçant la mort de 74 joueurs ces trois dernières années[Lesquelles ?] Certains membres du conseil municipal de Budapest proposent en 1900 de bannir le football du pays, mais l'idée est rejetée et le football reste autorisé en Hongrie[3]. Vainqueur en 1947, la Hongrie domine l'édition 1948, mais le tournoi reste inachevé[182]. Après la chute du régime socialiste, le stade garde son nom jusqu'en 2002, date à laquelle il est renommé stade Ferenc-Puskás, en l'honneur de l'un des plus illustres joueurs hongrois[175]. Bároti dirige ensuite le club d'Újpest Dozsa (finaliste de la Coupe des villes de foires en 1969) puis la sélection péruvienne durant une année. Iuliu Baratky est l'un des rares joueurs à avoir porté le maillot des deux sélections. Après 1939, la Hongrie quitte le Hungária körúti Stadion tout en continuant à jouer dans le stade de Ferencváros jusqu'à l'effondrement d'une tribune le 4 mai 1947 lors d'une rencontre face à l'Autriche[170]. Le parcours éliminatoire de l'Euro 1984 est particulièrement difficile pour les Magyars, avec quatre défaites en huit matchs. La rencontre démarre bien pour les Hongrois qui mènent 2-0 après huit minutes de jeu[43]. Ces couleurs sont celles du drapeau hongrois[232]. Lors du premier tour, au stade Giorgio-Ascarelli de Naples, la sélection hongroise domine l'Égypte (4-2), mais elle s'incline dès les quarts de finale contre la Wunderteam autrichienne (1-2), après l'expulsion d'Imre Markos à l'heure de jeu. En quart de finale, les Hongrois parviennent à éliminer le Brésil (4-2). Malgré l'échec de la campagne européenne, la Hongrie parvient à se qualifier pour la Coupe du monde 1986 en devançant les Pays-Bas et l'Autriche[99]. Cela fait des décennies que l'équipe nationale hongroise n'avait pas participé à une phase finale de compétition internationale : depuis 44 ans pour l'Euro, et trente pour la Coupe du monde.

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