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histoire de la lorraine allemande

», « nos Lorrains français disent Fouligny et Hattigny, quand les Lorrains allemands disent Fulling et Hatting. Dom Calmet témoigne expressément pour le dix-huitième siècle comme pour le treizième, qu'une partie de la Lorraine parle l'allemand et l'autre le français, et que sur les frontières la plupart des peuples parlent ces deux langues[16]. », « nos Lorrains français disent Fouligny et Hattigny, quand les Lorrains allemands disent Fulling et Hatting. LA REVUE LORRAINE POPULAIRE DE JUIN PUBLIE LE JOURNAL TENU PAR L'ABBE PAUL IDOUX ENTRE MAI ET SEPTEMBRE 1940. Historiquement l'origine franque de ces dialectes est incertaine. Dans son ouvrage Moselle plurielle. Avant leur rattachement progressif à la France du XVIIe siècle au XVIIIe siècle, les divers territoires de la Lorraine allemande relevaient du Saint-Empire romain germanique mais le morcellement féodal avait conduit à la coexistence de fiefs relevant selon les cas du duché de Lorraine (formant le bailliage d'Allemagne), de la principauté épiscopale de Metz, ou encore de diverses petites principautés ecclésiastiques ou laïques qui bénéficièrent jusqu’à la Révolution française de l’immédiateté impériale. Cette désignation « luxembourgeois » tient à la fois de l'usage dans ce nord et de l'état Luxembourgeois et de ses institutions qui proposent ou fixent une définition de la langue luxembourgeoise. En 1760, Voltaire fait la remarque suivante au comte de Tressan : « Vous voilà gouverneur de la Lorraine allemande : vous aurez beau faire, vous ne serez jamais Allemand [...] La Lorraine allemande vous fait-elle oublier l'Académie française, dont vous seriez l'ornement ? L'histoire postale et géographique de la Lorraine est particulièrement riche car elle témoigne de tous les bouleversements historiques qui ont affecté cette province. Un exemplaire de cette pétition est déposé aux Archives départementales de la Moselle. », Etwas Gegengift wider den Zeitgeist für den gemeinen Mann in Deutsch-Lothringen, Par la directive du 14 août 1920 du sous‑secrétaire d’État à la présidence du Conseil, adressée au commissaire général de la République à Strasbourg, l'appellation d'« Alsace‑Lorraine » a été interdite, afin d'éviter les confusions (, Vaudrevange et Sarrelouis se trouvent aujourd’hui dans le Land allemand de la, Une copie manuscrite de cet acte se trouve aux, L. Benoît, « Notes sur la Lorraine allemande : Le Westrich », in, « Le Comté de Sarwerden est un petit Etat situé sur la Sâre, dans la Lorraine Allemande. La toponymie témoigne de cette limite linguistique : il y a ainsi de part et d’autre de l’ancienne frontière linguistique Audun-le-Tiche (Deutsch-Oth) et Audun-le-Roman (Welsch-Oth). Je voulais leur montrer que j’étais aussi capable qu’eux. La langue allemande en France. Identité complexe et complexes identitaires, paru en 2010, Albert Weyland mentionne « la langue allemande dans sa version francique »[51]. En 1869, deux ans avant la première annexion par l'Allemagne, une pétition intitulée « Pétition en faveur de l'enseignement simultané du français et de l'allemand dans les écoles primaires de la Lorraine allemande (Moselle) - Les habitants de la Lorraine allemande (Moselle) à Sa Majesté l'Empereur » fut adressée à Napoléon III après la décision du conseil départemental de l’éducation de la Moselle de supprimer l’enseignement de l’allemand. Contributions à l'histoire de l'enseignement du français. Aux électeurs de Lorraine Allemande (1848), document BNF. Par ailleurs, Robert de Hesseln indique vers 1771 que « L'idiôme de cette partie de la Lorraine est l'Allemand ; mais tel qu'il ne seroit peut-être pas entendu dans une des villes d'Allemagne »[3]. Ce n'est en effet qu'après 1918 que la notion de Lorraine allemande deviendra beaucoup plus ambigüe, certains continuant à se situer dans le cadre de la conception traditionnelle, d'autres faisant référence à l'actuel département de la Moselle dont seulement une partie était traditionnellement de langue allemande, le reste ayant été germanisé. En 1771, la Lorraine allemande est traversée par la Sarre qui y reçoit la Blies et la Nied ; elle est délimitée à l'est par la basse-Alsace et le duché de Deux-Ponts, au nord par le Palatinat et l'électorat de Trèves, à l'ouest et au sud par le pays messin[3]. » ~ Bismarck 8 octobre 1870 . D'après Henri de Sybel, la partie Nord-Est de la Lorraine s'appelait l'Allemagne dans la bouche du peuple, les habitants en était allemands, presque sans mélange ; jusqu'en 1748, les délibérations officielles s'y faisaient en allemand, l'instruction s'y donnait en allemand, la justice s'y rendait aussi en allemand dans toutes les instances[16]. Alors que l’Alsace n’avait commencé à réellement accepter son appartenance française que vers 1815, elle retourne à l’Allemagne en 1871. Les habitants de la Lorraine francophone étaient désignés par leurs voisins germanophones sous le terme de « Welschlothringer », l’adjectif Welsch désignant plus généralement toutes les populations de langue romane[20]. En 1872, les habitants ayant opté pour la France vont s’installer en Lorraine française, notamment à Nancy, à Paris ou en Algérie. Mais Il n'existe pas de langue francique uniforme ou normée (« langue toit ») on fait référence à un continuum dialectal[42]. L'ambiguïté du terme « Lorraine allemande » étant devenue gênante en raison du sens pris par le mot « allemand » depuis 1870 puis sous le régime nazi, il fallait bien désigner ce territoire par un terme nouveau, non pour en nier les aspects plus anciens mais pour couper avec les connotations nationalistes du mot. Cette dénomination a l'avantage de faire référence à l'implantation géographique et à l'histoire de la langue pratiquée. - Gießener Beiträge zur Fremdsprachendidaktik (Tübingen), 1990 et Documents pour l'histoire du français langue étrangère ou seconde (Paris). L’alignement sur la situation allemande. Cette dernière appellation est reprise en particulier par Albert Hudlett, professeur à l'université de Haute Alsace dans son ouvrage charte de la graphie harmonisée des parlers franciques -platt- de la Moselle germanophone. Il est cependant certain que les francs se sont établis sur ce territoire, La revendication d’une filiation directe de la langue régionale de Lorraine allemande avec la langue de Charlemagne et de Clovis relève partiellement du mythe[44] car ces deux figures historiques n'ont pas implanté systématiquement leur langue dans les territoires qu'ils ont conquis. En 1871, l’ Empire allemand obtient la quasi-totalité de l' Alsace et une partie de la Lorraine correspondant à l'actuel département de la Moselle. », Fehlen, Fernand, « Le « francique » : dialecte, langue régionale, langue nationale ? Il fut encore longtemps d’usage dans les dialectes mosellans de désigner les Allemands en général, et les voisins sarrois en particulier, comme « d’Prèisse » (les Prussiens, la Sarre étant devenue territoire prussien après 1815), et non pas comme «d’Dèitsche/Ditsche» puisque dans la conception qui prévalait jusqu’à l’annexion de 1871. (Histoire) Ce document contient 414 mots soit 1 pages.Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. L’appellation de Lorraine allemande a trouvé sa consécration dans la terminologie officielle. Droit d'auteur : les textes des articles sont disponibles sous. An die Wahlmänner des Deutsch-Lothringens (1848), document BNF. Apparition de l'appellation « Lorraine francique », Discussion sur la dénomination des dialectes lorrains, « L'idiôme de cette partie de la Lorraine est l'Allemand ; mais tel qu'il ne seroit peut-être pas entendu dans une des villes d'Allemagne », « Vous voilà gouverneur de la Lorraine allemande : vous aurez beau faire, vous ne serez jamais Allemand [...] La Lorraine allemande vous fait-elle oublier l'Académie française, dont vous seriez l'ornement ? Les appellations « Lorraine allemande » ou « Lorraine de langue allemande » et leur équivalent allemand "Deutsch-Lothringen/Deutschlothringen" ont cependant été utilisées dans toute une série d'articles historiques faisant référence à la situation avant 1870 publiés en français et en allemand entre 1929 et 2002 par l'historien sarregueminois Henri Hiegel [26] dans diverses revues d'histoire régionale [27]. Ce qualificatif n'est pas utilisé spontanément par l'ensemble des Lorrains germanophones. », Etwas Gegengift wider den Zeitgeist für den gemeinen Mann in Deutsch-Lothringen, Par la directive du 14 août 1920 du sous‑secrétaire d’État à la présidence du Conseil, adressée au commissaire général de la République à Strasbourg, l'appellation d'« Alsace‑Lorraine » a été interdite, afin d'éviter les confusions (, Vaudrevange et Sarrelouis se trouvent aujourd’hui dans le Land allemand de la, Une copie manuscrite de cet acte se trouve aux, L. Benoît, « Notes sur la Lorraine allemande : Le Westrich », in, « Le Comté de Sarwerden est un petit Etat situé sur la Sâre, dans la Lorraine Allemande. », Parmi les premiers ouvrages en allemand moderne, on trouve les œuvres d', The Consequences of Mobility - Linguistic and Sociocultural Contact Zones, limite linguistique romano-germanique de Lorraine, Béat Fidèle Antoine Jean Dominique de La Tour-Châtillon de Zurlauben, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Lorraine_allemande&oldid=176550503, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Les événements politiques de la fin du XIXe siècle et du XXe siècle ont altéré le sens du mot « allemand ». En 1848, l'Assemblée nationale constituante rédige en allemand standard un document destiné aux électeurs de la Lorraine allemande[24]. La langue a ensuite subi de nombreuses évolutions, à la suite de l'immigration, principalement après la guerre de Trente Ans, de populations venues du Tyrol, de Suisse alémanique et de Bavière (zones où l’on parle des dialectes de l’allemand supérieur).La langue parlée a également interféré avec l’allemand littéraire, langue écrite, de culture et du culte depuis la fin du XVe siècle[45],[46]. En français, le gentilé est mentionné sous la forme Lorrains allemans en 1635[31], puis Lorrains-Allemands en 1758[32], 1809[33], 1844[34] et 1851[35] ; ainsi que sous la graphie Lorrains allemands en 1859[36], 1864[37] et 1866[38]. Dans une présentation de l'ouvrage «Pour Dieu et pour le Roi. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le combat pastoral et «politique» de Jean-Jacques Weber 1767-1833), archiprêtre de Volmunster et de Rohrbach» [29] coécrit avec Henri Hiegel, faite à l'occasion des « Journées d'Études Mosellanes », Gérard Henner indique «Est-ce que les actuels habitants de Volmunster sauront lire en notre livre le destin tumultueux de leurs ancêtres, frappés de plein fouet par les événements nationaux et si proches des frontières...? Cependant le mot « francique », malgré sa nouveauté gagne du terrain et bon nombre de Lorrains s'y reconnaissent aujourd'hui. Je voulais leur montrer que j’étais aussi capable qu’eux. À la fin du XIXe siècle, la limite linguistique romano-germanique de Lorraine suit une ligne allant du Donon au sud-est à Rédange (Redingen) au nord-ouest[12]. Hiegel, Henri, « La rivalité en Lorraine allemande au Moyen Âge entre les ducs de Lorraine et les comtes de Sarrebruck », Les Cahiers lorrains, 1937. Simon II, son frère, conserve quant à lui le reste du duché qui sera finalement réunifié en 1205 sous Ferry II. Cette pétition est très claire quant à la perception de leur langue par les Mosellans germanophones de l’époque. Paul Lévy, Histoire linguistique d'Alsace et de Lorraine. Pour les Lorrains, la Lorraine correspond à l’espace compris entre la Champagne à l'ouest, la Franche-Comté au sud, l'Alsace à l'est, et la Belgique, le Luxembourg et l'Allemagne au nord. Cette appellation était utilisée tant par les Lorrains germanophones que par l’administration ducale, royale, révolutionnaire puis impériale[n 1]. Ce n’est que plus tard que le terme « Dèitsch/Ditsch » s’est généralisé pour désigner ce qui se rapporte à l’Allemagne stricto sensu. », « die Elsasser, und ähnlich die Deutsch-Lothringer, würden eine Wiedervereinigung mit Deutschland als eine Befreiung von fremdem Joche. Il permet de distinguer la langue régionale parlée de l'allemand standard, même si de par le continuum linguistique, il existe un lien fort entre les deux.

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