Que Veut Dire Cassandre, Maths 5e Iparcours Cahier D Exercices 9782362463112, Tout Mon énergie, Comparateur Race De Chien, Bus 28: Horaires, Brest - Marseille Ryanair, Un Individu Mots Fléchés 6 Lettres, Charles Denner Films, " /> Que Veut Dire Cassandre, Maths 5e Iparcours Cahier D Exercices 9782362463112, Tout Mon énergie, Comparateur Race De Chien, Bus 28: Horaires, Brest - Marseille Ryanair, Un Individu Mots Fléchés 6 Lettres, Charles Denner Films, " /> Que Veut Dire Cassandre, Maths 5e Iparcours Cahier D Exercices 9782362463112, Tout Mon énergie, Comparateur Race De Chien, Bus 28: Horaires, Brest - Marseille Ryanair, Un Individu Mots Fléchés 6 Lettres, Charles Denner Films, " />

hajar raissouni, journaliste

[1] In 2019, she was arrested and sentenced to a year in prison for allegedly having an illegal abortion and sex out of wedlock,[2] though she was later pardoned by King Mohammed VI. [4], On August 31, 2019, Raissouni was arrested while leaving a gynecologist's office in Rabat, along with her partner Rifaat Al Amine, her gynecologist Dr. Jamal Belkeziz, and another doctor and an office assistant at the clinic. "[13], The move was simultaneously welcomed and criticized by rights groups, including The Coalition For Women In Journalism which noted despite being great news for Hajar, the pardon did not do justice to the issues that women journalists are tackling in the country. Recently, she was interested in street children and was preparing a survey on the Christian community resulting from sub-Saharan immigration in Morocco. Sur les photos diffusées par ses proches, elle est souriante, porte des lunettes et un voile de couleur vive. Emprisonnée depuis le 31 août pour “avortement illégal” et “débauche”, son arrestation a relancé le débat sur les libertés, individuelles mais aussi politiques, au Maroc, relate RFI dans sa Revue de presse Afrique. La journaliste marocaine Hajar Raissouni, 28 ans, a été condamnée lundi à un an de prison ferme pour « avortement illégal » et « relations sexuelles hors mariage » par le tribunal de Rabat. [4], During 2015, Hajar distanced herself from the movement and then left Attajdid in 2016. L'affaire suscite une importante controverse au Maroc. Le 31 août, elle a été arrêtée aux portes d’une clinique de Rabat. C’était il y a un an. Rabat, Morocco (CNN) A Moroccan journalist has been sentenced to a year in prison after … A Rabat court sentenced journalist Hajar Raissouni to one year in prison, on charges of “having an illegal abortion and sexual relations outside marriage”. 1991) is an independent Moroccan journalist. Hajar Raissouni, seen on the poster, was arrested on August 31. Sami Elmoudni, président du Forum marocain des jeunes journalistes Sur cette base, le journaliste estime que «la place de Hajar Raïssouni n’est pas en prison : elle n’a pas été arrêtée pour une malversation avérée ou pour avoir porté atteinte à la société d’une manière ou d’une autre». La journaliste Hajar Raissouni, condamnée à un an d’emprisonnement « pour avortement illégal », a été remise en liberté le 16 octobre 2019, à la faveur d’une grâce royale. C'est l'histoire d'un Maroc d'un autre âge, que les touristes qui arpentent les rues de Marrakech ne soupçonnent pas. La Ligue démocratique pour les droits de la femme organise des manifestations de soutien à Hajar Raissouni, et de nombreuses personnalités, comme l’acteur et journaliste Ahmed Réda Benchemsi, s'expriment en son nom[11]. Hajar Raissouni, jeune journaliste à la plume vive et libre dans l’un des tout derniers quotidiens indépendants du Maroc, Akhbar El Youm, était incarcérée pour « avortement illégal » et « relations sexuelles hors mariage ». Maroc : la journaliste Hajar Raissouni condamnée à un an de prison ferme pour « avortement illégal ». L'un des objectifs de la campagne est la réforme des lois sur l'avortement, qui n'autorisent actuellement l'avortement que si la vie de la femme enceinte est en danger[5],[6]. Arrêtée le 31 août, elle a été accusée d’avortement illégal et de relations sexuelles hors mariage, attaques relayées par … Originaire du Maroc, Hajar Raissouni travaille comme journaliste pour Akhbar Al Yaoum, un quotidien arabophone indépendant qui critique régulièrement les positions de l'État . Hajar Raissouni et le Dr Jamal Belkeziz déclarent que le rendez-vous est lié à l’administration d’un traitement pour une hémorragie interne[4]. La journaliste marocaine Hajar Raissouni est sortie libre de la prison d’El Arjat, près de Rabat mardi 16 octobre dans la soirée après 47 jours d’incarcération. modifier - modifier le code - modifier Wikidata. RABAT, Morocco – Journalist Omar Radi is straightforward when explaining why he attended a recent rally to protest the detention of fellow journalist Hajar … Hajar Raissouni, journaliste marocaine, est en détention depuis samedi 31 août et risque deux ans de prison ferme pour « avortement illégal ». Cette grâce a également été accordée à son fiancé et aux trois membres du personnel … She was hired at Attajdid, the daily newspaper of the Justice and Development Party (PJD) where she worked for two years. Selon un communiqué officiel du ministère marocain de la Justice : « Dans le cadre de la compassion et de la miséricorde de Sa Majesté le Roi, celui-ci a cherché à protéger l'avenir des deux fiancées qui entendent fonder une famille dans le respect de l'État de droit, malgré l'erreur qu'elles ont pu commettre et qui a donné lieu à des poursuites judiciaires »[3]. Hajar Raissouni a 28 ans. [5], "Morocco's King Pardons Journalist Sentenced on Abortion Charge", "Moroccan Journalist Sentenced to Prison for Abortion and Premarital Sex", "المغرب: الملك محمد السادس يصدر عفوا عن الصحافية هاجر الريسوني المسجونة بسبب "الإجهاض, "Au Maroc, Hajar Raissouni, journaliste discrète, devenue un symbole", "Moroccan king pardons journalist jailed for having an abortion", "Moroccan journalist receives one-year prison sentence for 'illegal abortion, "Moroccan court jails journalist on abortion charge that she denies", "After slamming individual freedoms defenders, Ahmed Raissouni defends his point of view", "La journaliste Hajar Raissouni condamnée à un an de prison ferme au Maroc pour " avortement illégal, "Moroccan journalist jailed for 'illegal abortion' pardoned by king", "We are delighted that Hajar Raissouni has been pardoned, https://en.wikipedia.org/w/index.php?title=Hajar_Raissouni&oldid=983497548, Creative Commons Attribution-ShareAlike License, This page was last edited on 14 October 2020, at 15:38. Dans son article paru dans The New York Times en 2019, la journaliste Aida Alami note également que Reporters sans frontières classe le Maroc au 135e rang de son classement annuel de la liberté de la presse[2]. Cette mesure est à la fois saluée et critiquée par des groupes de défense des droits humains, notamment la Coalition pour les femmes dans le journalisme (CFWIJ), qui note que, bien qu'il s'agisse d'une excellente nouvelle pour Hajar Raissouni, la grâce ne rend pas justice aux problèmes que les femmes journalistes abordent dans le pays : « Hajar n'est libre que par cette grâce et non parce qu'il a été reconnu que l'État n'avait pas à mettre son nez dans sa vie personnelle. Hajar Raissouni, journaliste marocaine condamnée à un an de prison ferme le 30 septembre pour «avortement illégal» et «relations sexuelles hors mariage», a été libérée mercredi soir. Le procès de la journaliste Hajar Raissouni, 28 ans, prévu le 9 septembre a été reporté au 16. [5] In her article in the New York Times, Aida Alami noted that "Reporters Without Borders ranks Morocco 135th in its annual press freedom index. [10], The case stirred significant controversy in Morocco. La dernière modification de cette page a été faite le 1 novembre 2020 à 10:19. Coalition pour les femmes dans le journalisme (CFWIJ), https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Hajar_Raissouni&oldid=176120613, Personnalité de la défense des droits de l'homme au Maroc, Portail:Biographie/Articles liés/Culture et arts, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Hajar Raissouni (en langue arabe : هاجر الريسوني), née en 1991, est une journaliste marocaine indépendante. Hajar Raissouni (Arabic: هاجر الريسوني‎; b. She received a traditional religious education and chose to wear the hijab as a teenager. At the time, Hajar was close to the Movement for Unity and Reform [fr] (MUR) created by her uncle Ahmad al-Raysuni. [7], Raissouni's family and supporters believe the accusation and sentence were politically motivated. [12] An official statement from the Moroccan Ministry of Justice explained: "In the context of His Majesty the King's compassion and mercy, His Majesty's sought to protect the future of the two fiancées that intend to start a family in accordance with the rule of law, in spite of the mistake that they may have made, which led to legal prosecution. [3], Hajar was born in 1991 in Larache, Morocco. Reporters sans frontières appelle à la libération immédiate et sans condition de la journaliste marocaine Hajar Raissouni, arrêtée le 30 août 2019 et détenue en attente d’un jugement où elle risque jusqu’à deux ans de prison pour "avortement illégal" et "relations sexuelles hors mariage". Her father was a farmer and her mother is a housewife. Originaire du Maroc, Hajar Raissouni travaille comme journaliste pour Akhbar Al Yaoum, un quotidien arabophone indépendant qui critique régulièrement les positions de l'État[1]. Hajar Raissouni est libre - Merci pour votre mobilisation à tous ! En 2019, elle est arrêtée et condamnée à un an de prison pour avoir prétendument eu un avortement illégal et des relations sexuelles hors mariage, bien qu'elle ait ensuite été graciée par le roi Mohammed VI[2],[3]. En 2019, elle est arrêtée et condamnée à un an de prison pour avoir prétendument eu un avortement illégal et des relations sexuelles hors mariage, bien qu'elle ait ensuite été graciée par le roi Mohammed VI . Le couple est condamné à un an de prison, tandis que le gynécologue à deux ans de prison. A Moroccan journalist has been sentenced to a year in prison for premarital sex and having an abortion, in a case activists say is part of a crackdown on critical reporters. Banner in Arabic reads "Freedom to Hajar Raissouni" (AP Photo/Mosa'ab Elshamy) RABAT, Morocco (AP) — A judge ruled that a Moroccan journalist remain in custody after she appeared Monday in a packed courtroom on charges that she had an illegal abortion after becoming pregnant while single. The Democratic League for Women's Rights (Arabic: فيدرالية رابطة حقوق النساء‎) organized protests in support of Raissouni,[5] and many public figures, such as Ahmed Benchemsi, spoke out on her behalf. After a bachelor's degree in mathematics, she changed her path and choose to be a journalist. 1991) is an independent Moroccan journalist. Le 31 août 2019, Hajar Raissouni est arrêtée alors qu'elle quitte un cabinet gynécologique à Rabat, en compagnie de son partenaire soudanais Rifaat Al Amine, de son gynécologue, le Dr Jamal Belkeziz, d'un autre médecin et d'une assistante de bureau de la clinique[4]. [11], On October 17, 2019, King Muhammad VI gave Hajar Raissouni, her partner Rifaat Al Amine, her gynecologist Dr. Jamal Belkeziz, and the second doctor and the assistant from the clinic, a royal pardon. Soulaiman Raissouni arrêté en mai dernier, est quant à lui accusé d’avoir agressé sexuellement un autre homme. She enrolled in law school and then in political science while publishing her first articles in Al Ahdath Al Maghribia, a left-wing Arabic-language daily. In 2019, she was arrested and sentenced to a year in prison for allegedly having an illegal abortion and sex out of wedlock, though she was later pardoned by King Mohammed VI. [5] The police had been investigating the clinic for abortions[5] Hajar Raissouni and Dr. Jamal Belkeziz said she was there to receive treatment for internal bleeding. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Au Maroc, la journaliste Hajar Raissouni condamnée à un an de prison pour avortement et débauche. In Akhbar Al Yaoum, where she works with her uncle Soulaimane Raissouni, she writes as much on the demonstrations of unemployed graduates as on the crisis of medical students or the reform of national education. La journaliste marocaine Hajar Raissouni à sa sortie d'une prison de Sale, près de la capitale, Rabat, le 16 octobre 2019. Lors du procès, la journaliste a pu prouver scientifiquement qu'elle n'avait pas avorté, mais elle a tout de même été reconnue coupable pour avortement illégal. L'oncle d’Hajar Raissouni, Ahmad al-Raysuni, est un ancien dirigeant d'un groupe islamiste ayant une grande influence politique au Maroc, bien qu'il se soit prononcé pour condamner la campagne politique visant à modifier les lois qui ont servi à condamner sa nièce[9],[10]. Journaliste au quotidien arabophone « Akhbar Al-Yaoum », Hajar Raissouni est également la nièce d’Ahmed Raissouni, président de l’Union internationale des oulémas musulmans et ancien président du Mouvement unicité et réforme (MUR, islamiste). [5] At the trial, the Raissouni was able to prove scientifically that she had not had an abortion, but she was still found guilty. Arrêtée pour avortement illégal le 30 août dernier et maintenu en détention depuis, la journaliste dénonce des “accusations fabriquées” et [6], Raissouni and her partner Rifaat Al Amine were both sentenced to a year in prison,[5] while the gynecologist, Dr. Jamal Belkeziz, was given 2 years in prison. [5] She works as a journalist for Akhbar Al Yaoum, an independent news outlet critical of the state. Son cri d’innocence, les preuves médicales n’y ont rien fait. Les proches de la jeune femme dénoncent un procès politique lié à … Maroc : condamnée pour « avortement illégal », la journaliste Hajar Raissouni graciée par Mohammed VI. Lorsqu'elle a été libérée en raison du choc extrême auquel le pays a dû faire face, nous devons penser à des situations dans lesquelles une journaliste peut ne pas avoir le même genre de traitement »[13]. Le procès d’Hajar Raissouni, reporter du quotidien arabophone Akhbar Alyaoum, un des derniers #FREEHAJARSIGNEZ LA PETITIONjournaux indépendants au Maroc, s’est ouvert ce lundi 9 septembre devant le tribunal de première instance de Rabat. (FADEL SENNA / AFP) Hajar Raissouni (Arabic: هاجر الريسوني‎; b. Le 17 octobre 2019, le roi Muhammad VI accorde une grâce royale à Hajar Raissouni, à son compagnon Rifaat Al Amine, à son gynécologue, le Dr Jamal Belkeziz, ainsi qu'au second médecin et à l'assistante de la clinique[12]. La famille et les partisans d’Hajar Raissouni soutiennent que l'accusation et la condamnation ont été motivées par des raisons politiques, liées en partie à son métier de femme journaliste[4],[8]. She grew up in a conservative family. After getting her baccalaureate, she moved to Salé in 2009 and enrolled at the Faculty of Sciences in Rabat. Ce lundi 23 septembre reprendra le procès de la journaliste marocaine Hajar Raissouni. "[1], Hajar Raissouni's uncle, Ahmad al-Raysuni, is a former leader of an Islamist group with significant political influence in Morocco,[8][9] though he has spoken out in condemnation of the political campaign to change the laws that were used to condemn Hajar Raissouni. [14], Raissouni's case sparked the Kharija Ala L'Qanun (خارجة على القانون) or Outlaws campaign, an ongoing campaign for the legalization of abortion and sex outside marriage in Morocco. Sa nièce, Hajar Raissouni, journaliste dans le même journal que son oncle, avait elle-même été poursuivie l’année dernière pour … Le procès de Hajar Raissouni, journaliste marocaine jugée à Rabat pour "avortement illégal" et "relations sexuelles hors mariage", a été reporté, lundi, à fin septembre. Le second médecin et l’assistante de la clinique sont eux condamnées avec sursis[7]. Le cas d'Hajar Raissouni déclenche la campagne Kharija Ala L'Qanun (خارجة على القانون) ou Outlaws, une campagne militante pour la légalisation de l'avortement et des relations sexuelles hors mariage au Maroc[4]. [5] One of the campaign's aims is the reform of abortion laws in Morocco, which currently only permit an abortion if woman's life at risk. "Hajar is only free because of the pardon and not because it was recognized that the state had no business sticking its nose into her personal life. Son arrestation le 31 août a relancé le débat sur les libertés individuelles et de la presse. Hajar Raïssouni est journaliste au quotidien arabophone Akhbar Al Youm. Where she has been released because of the extreme backlash the country had to face, we have to think of situations where a journalist may not hold the same kind of attention in the news," the organization said. [1] Another doctor and an office assistant at the clinic were given suspended sentences.

Que Veut Dire Cassandre, Maths 5e Iparcours Cahier D Exercices 9782362463112, Tout Mon énergie, Comparateur Race De Chien, Bus 28: Horaires, Brest - Marseille Ryanair, Un Individu Mots Fléchés 6 Lettres, Charles Denner Films,

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