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guerre civile espagnole conséquences

Les nationalistes ont également obtenu l'aide du Portugal d'António de Oliveira Salazar qui enverra une légion de 20 000 hommes (appelés Viriatos). De ce fait, en métropole, dans chaque division d'infanterie, trois régiments sur quatre sont en sommeil et le quatrième n'est pas aligné sur ses droits en effectifs. Par ailleurs, les républicains ont reconquis Minorque mais échoué à prendre le contrôle du reste des Baléares. Le 1er avril 1939, Franco peut annoncer que « la guerre est finie ». L'issue guerrière est inévitable, et dès le lendemain de sa nomination, Martinez Barrio démissionne, remplacé par José Giral. Pendant la Guerre civile, le Pays Basque était une des régions républicaines qui résistait aux Franquistes. La Retirada est souvent commémorée en France et doit être un événement à ne pas nier. Ceux-ci essaient encore d'attaquer lors de la bataille de l'Èbre (à partir du 25 juillet 1938) mais c'est un nouvel échec : les républicains sont contraints de repasser l'Èbre au prix de pertes importantes. Cependant, après de nombreuses manifestations anti-monarchiques et la signature de l'accord de Saint-Sébastien entre courants républicains, la victoire de nombreux candidats républicains aux élections municipales du 12 avril 1931 est interprétée comme une défaite du régime monarchiste. Cette insurrection est parfois appelée la « Commune espagnole » ou la « Révolution d'octobre » puisqu'elle culmine en octobre 1934 lorsque les mineurs contrôlent un territoire de quelque 1 000 km2 autour d'Oviedo et au sud de cette ville. Cette guerre se termina par la victoire des nationalistes qui établiront une dictature connue sous le nom d'« État espagnol » durant 36 ans, dirigé par Franco portant le titre de Caudillo, jusqu'à la transition démocratique qui n'intervint qu'à la suite de la mort de Franco le 20 novembre 1975. Les zones rurales, où se concentre la grande majorité de la population, votent davantage pour la monarchie, sous l'influence des caciques. Cette photo a été prise à Barcelone sur l’hôtel Colen par Juan Guzman, le 21 juillet 1936. Cette centralisation du pouvoir permet au PCE, soutenu par les autres groupements républicains, de purger, au cours de l’été 1937, les tendances libertaires de la CNT (au profit d’une mainmise du PCE). L'échec électoral de la CEDA aux élections de février 1936 a discrédité Gil Robles au bénéfice des partisans du coup d'État. La France et le Royaume-Uni choisirent la non-intervention et le blocus des exportations d'armes, mais laissèrent les Brigades internationales s'engager aux côtés des républicains. Au fur et à mesure de la progression des troupes rebelles et de la prise des villes et villages au tout début de la guerre, les militants et sympathisants de la République sont systématiquement arrêtés, emprisonnés ou fusillés. Au bout d'une semaine et après quelques gains nationalistes sur le terrain, le pays est coupé en deux zones de superficies à peu près égales : d'un côté les nationalistes, de l'autre les républicains, qui conservent les régions les plus riches, les plus industrielles et les plus urbanisées (Catalogne, Madrid, Guipuscoa, Biscaye, Asturies, Levant). La guerre a entraîné d'importants mouvements de population, souvent décidés dans la précipitation sans projet précis pour les personnes déplacées. Mussolini semble envoyer ses troupes davantage dans le but de renforcer son rayonnement que par affinité idéologique avec Franco. Ces sensibilités politiques divisées aux élections du 16 février 1936 se rejoignirent pour s'opposer au Front Populaire (Frente Popular). Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il est parti au combat avec un de ses cousins qu’il perdra de vue et qu’il ne reverra plus jamais (ce cousin ne connaîtra jamais sa fille). Espagnol -Bac toutes séries. Ses conséquences eurent une grande importance dans la préparation de la Seconde Guerre Mondiale. Ces conséquences peuvent être d'ordre économique, social, culturel, géo-polifique et/ou politique, et inévitablement psychologique et environnemental sur les communautés en confrontations , et des fois, sur celles environnantes et sur la faune et à la flore qui les abritent. À Madrid, entre 1936 et 1939, selon César Vidal, près de 15 000 personnes auraient été fusillées[29]. Les socialistes et les républicains pensaient que le moment était venu : le 13 avril ils décrètent l'expulsion de la monarchie et la Seconde République espagnole est proclamée le 14 avril 1931 : ils sont maintenant les responsables du gouvernement du pays et forment aussitôt un Gouvernement provisoire, présidé par Niceto Alcalá Zamora. Vous vaincrez parce que vous possédez une surabondance de force brutale, vous ne convaincrez pas parce que convaincre signifie persuader. Parmi ces répressions, il y a par exemple le fait de frapper un prêtre qui n’était pas pour Franco ou bien se faire racketter sa nourriture par les gardes nationalistes (qui ont été souvent appelés par des personnes supportant la dictature). Le Corps des Troupes Volontaires (Corpo Truppe Volontarie en italien, abrégé CTV) atteint jusqu'à 50 000 hommes. La répression ordonnée par le gouvernement est terrible (1 000 morts, 20 000 arrestations). A gauche, photo prise dans une des rues de Madrid montrant une banderole républicaine. Les lettres de dénonciation sont tellement nombreuses que la prescription des délits politiques non dénoncés est ramenée de quinze à deux ans dès janvier 1940[21]. Pecunia, Alain. Au cours de l'année 1933, le PSOE met fin à la collaboration avec les républicains, entraînant la chute du gouvernement Azaña ; Alejandro Lerroux, un radical, forme un gouvernement plus centriste. La guerre civile espagnole, également appelée guerre d' Espagne, a commencé en 1936 avec le coup d'État orchestré par le général Francisco Franco. Cette photo vient des Archives départementales des Pyrénées-Orientales, Fond Chauvin, 27 FI 58. Quand l'insurrection éclate, le gouvernement républicain se trouve paralysé. L'insurrection militaire de juillet 1936 survient après plusieurs mois de grèves, d'expropriations, de batailles entre paysans et gardes civils. Ils se dénommaient eux-mêmes nacionales (« nationaux »), tandis que leurs opposants les appelaient fascistas (fascistes) ou facciosos (« factieux ») ; quand le général Franco prit leur tête, on se mit à les désigner également sous le nom de « franquistes ». Un comité est créé à Londres pour en définir les modalités. Conséquences sociale: traumatisme de la population politique: dictature de Franco (1938-1975) démographique: 380 000 -451 000 morts, exode républicain vers la France, le Méxique et l'URSS Internationalisation du conflit aide italienne, allemande et portugaise pour les nécessaire]. Par ailleurs, pour certains historiens, la Seconde Guerre mondiale a débuté avec la guerre civile qui oppose en effet de 1936 à 1939 républicains et nationalistes en Espagne et qui fait environ 400 000 morts. ... L’arrivée de ce gouvernement déclenche la guerre civile, résultant d’un malaise tant économique que social, qui tourmentait l’Espagne depuis des années. S'ils se présentent encore aux élections, ils travaillent davantage dans les luttes sociales, avec les anarchistes notamment. En effet, les rapports de force mutent fortement dans le cadre du conflit : les nécessités d’organisation liées à la guerre permettent une restructuration du pouvoir plus centralisée, au détriment des organisations de pouvoir locales de tradition fédéraliste. J’ai dit ». En fait seule une partie (les 2⁄5e) de l'Espagne s'est ralliée, c'est un échec technique. Source : https://arthisto.fr/guernica-picasso-guerre-despagne/. Les avocats du POUM contestent tout simplement le fait que les dirigeants portent quelque responsabilité que ce soit, afin d'éviter d'avoir à assumer leur propre responsabilité. La gauche refuse en effet que la CEDA accède au gouvernement. La tiédeur de l'engagement soviétique peut s'expliquer par le pragmatisme de Staline : face à la menace grandissante de l'Allemagne hitlérienne envers l'URSS, il cherche à conclure des alliances militaires avec la France et le Royaume-Uni, cette préoccupation primant sur un soutien à une révolution prolétarienne internationale qui risquerait de lui aliéner ces pays. Le gouvernement, informé de ces conspirations, a pour seule réaction de déplacer les hauts responsables soupçonnés loin de la capitale : Emilio Mola est muté à Pampelune, Franco aux îles Canaries. Il a négocié en échange de son aide le contrôle des sociétés minières espagnoles. La Guerre Civile espagnole et ses conséquences A gauche, photo prise dans une des rues de Madrid montrant une banderole républicaine. Source : Photo prise à Burgos en 1936, au centre se trouve le général Franco. Cette opération est toutefois contrecarrée et la ville est reprise par les nationalistes après moins d'un mois. « La falsification historique consiste à attribuer la responsabilité de la défaite espagnole aux masses ouvrières, et non aux partis qui ont paralysé, ou purement et simplement écrasé, le mouvement révolutionnaire des masses. Durant l'été 1936[28], en plus des 7 000 à 8 000 religieux, près de 2 000 phalangistes sont massacrés en zone républicaine, hors de tout combat, sans que le gouvernement ne condamne un seul instant ces crimes commis par ses propres partisans des milices syndicales (« les patrouilles de l'aube ») et sans que cela soit en représailles de fusillade du camp adverse. Si la coalition antimonarchiste obtient une majorité des suffrages dans les grandes villes, on ignore les résultats précis de l'élection sur l'ensemble du territoire[8]. 18 juillet 1936, l’Espagne bascule dans la guerre civile Le 17 juillet 1936 éclate au Maroc espagnol le soulèvement du général Francisco Franco contre le gouvernement du Front populaire. Ou, plus probablement, Staline a déjà l'idée d'un rapprochement avec l'Allemagne nazie, le pacte Ribbentrop-Molotov, peut-être parce qu'il a le sentiment d'avoir été marginalisé lors de l'accord naval entre la Grande-Bretagne et l'Allemagne en 1935. Les plaintes des combattants républicains et de ceux des Brigades internationales concernant la médiocrité et la vétusté de ce matériel sont nombreuses[39]. La dernière modification de cette page a été faite le 9 décembre 2020 à 15:30. Alphonse XIII décide alors de s'enfuir en exil. Elle se déroula de juillet 1936 à avril 1939 et sacheva par la défaite des républicains et létablissement de la dictature de Francisco Franco, qui conserva le pouvoir absolu jusquà sa mort en 1975. C'est l'assassinat par des membres des forces de sécurité républicaines d'un des chefs et député de la droite monarchiste, José Calvo Sotelo le 13 juillet 1936, qui le décide à agir[14]. Au sommaire : il y a 80 ans, la guerre civile en Espagne poussait un demi-million de ses ressortissants à fuir vers la France. Les champs obligatoires sont indiqués avec *. Ce fut aussi le cas pour les députés de droite pourchassés en zone républicaine et dont 24 sont exécutés. L'URSS envoie peu d'hommes (seulement 2 000, pour la plupart des conseillers) et de plus les livraisons d'armes sont irrégulières et l'acheminement difficile vers certaines régions. Selon les études consacrées à la fureur qui a saisi l'Espagne en 1936[23], plus de 7 000 religieux dont 13 évêques, 4 184 prêtres, 2 365 moines et 283 religieuses ont été assassinés durant cette période[24]. Serrano Suner, beau-frère de Franco, alors admirateur de Goering, demande de l'aide à l'Allemagne nazie pour que l'Italie n'ait pas la mainmise sur l'Espagne. Il permit de jauger les rapports de force européens (attentisme des démocraties française et britannique, engagement de l'Italie fasciste et de l'Allemagne nazie, tout comme de l'Union soviétique). On peut noter aussi le renfort plus anecdotique des 600 à 700 Irlandais de la Légion Saint-Patrick ou des 300 Français de la « Bandera Jeanne d'Arc »[37]. Il y avait aussi la barrière de la langue, car les interprètes soviétiques qui parlaient espagnol n'étaient guère nombreux. Un des plus grands massacres collectifs a lieu les 14 et 15 août 1936 à Badajoz, en Estrémadure, où de nombreux miliciens désarmés sont sommairement fusillés, lorsque les nationalistes, principalement des unités de la Légion, s'emparent de la ville. Cette guerre fut inévitable et est la conséquence des problèmes économiques, politiques et sociaux du pays qui ont été présents depuis plusieurs générations avant la guerre. Leurs offensives sont presque toujours de faible ampleur, mal conçues, rapidement stoppées voire contrées, et se traduisent souvent par des pertes (humaines et matérielles) importantes. Le gouvernement, par crainte de les voir tomber entre de mauvaises mains, refuse de donner des armes aux travailleurs qui en réclament, menaçant de faire fusiller ceux qui leur en fourniraient. Souvent, les interprètes parlaient en anglais ou en français, avec les républicains espagnols, le russe n'étant pas une langue très courante en Espagne. En effet, il s'agit d'une armée populaire créée de toutes pièces, et n'obéissant pas au gouvernement, car basée sur l'idée d'une défense populaire assurée par chaque citoyen, sans commandement centralisé. Dans l'hypothèse du ralliement de Franco à la conspiration, l'appareil devait servir à le transporter au Maroc pour remplacer le général Agustín Gómez Morato (es), considéré comme loyal à la République. Les sources manquent parfois, soit qu'elles n'aient pas été constituées, soient qu'elles aient disparu. La guerre comporte sur ces différents fronts une succession de phases de mouvement et de longues phases de guerre de position avec utilisation de tranchées. Après les élections générales de novembre-décembre 1933, la CEDA (Confederación Española de Derechas Autónomas), devient le premier parti des Cortes par le nombre d'élus. Selon Abel Paz, la France a également aidé les nationalistes, en interdisant le soulèvement du Maroc contre eux, sous peine de représailles contre la république espagnole. Ainsi, des groupes anarchistes organisent une grève à Séville en juillet 1931, un soulèvement dans le district minier du Haut-Llobregat (Catalogne), durant lequel des militants anarcho-syndicalistes (dont Buenaventura Durruti et Francisco Ascaso, qui seront déportés au Sahara) proclament le communisme libertaire, et les soulèvements de janvier 1933 dans le Levant, la Rioja et en Andalousie ; dans cette région, les militants insurgés à Casas Viejas (province de Cadix) subissent une répression féroce de la Garde civile. Les militaires fidèles au gouvernement sont les premières victimes partout où les rebelles prennent le pouvoir (hors de tout combat). Les élections qui se déroulent dans un climat de violence (41 morts et 80 personnes grièvement blessées) sont marquées par des fraudes importantes qui ont permis la victoire du Front populaire[11],[12],[13]. En octobre, Franco doit faire un choix stratégique : aux portes de la capitale, il préfère envoyer ses troupes au sud, vers Tolède pour aller sauver les insurgés assiégés dans l'Alcazar. Par la suite, de nombreuses personnes, républicaines pour la plupart, ont quitté l'Espagne. Angel Herrera Oria convainc Juan March, un financier espagnol, de déposer 500 000 pesetas à son nom dans une banque française, un montant similaire à celui destiné à Mola. Aux élections de février 1936, le Front national dominé par la CEDA remporte 33,2 % des suffrages et 191 sièges, auxquels on peut joindre ceux de 18 députés centristes, mais est devancé par le Front populaire qui avec 34,3 % des voix remporte 254 sièges aux Cortes, grâce à des arrangements[N 3] dénoncés par le président Niceto Alcalá Zamora et à une abstention importante, qui bien qu'en baisse par rapport à 1933 (90 %), représente le tiers restant[N 4]. De l'autre, les notables, industriels ou paysans aisés, qui ont peu confiance dans le régime républicain ou dans le parlementarisme pour maintenir l'ordre, sont radicalement anticommunistes. Après avoir destitué le chef du gouvernement Miguel Primo de Rivera en janvier 1930, le roi d'Espagne Alphonse XIII affiche l'intention de revenir, après une période dictatoriale, à un régime constitutionnel. nécessaire]). Côté britannique, le gouvernement de Neville Chamberlain et les élites britanniques voient l'Espagne comme un pays en pleine révolution « communiste » (les Britanniques refusent de se battre pour des « communistes espagnols »). L'appartenance sociale ou politique suffit la plupart du temps dans l'acte d'accusation pour justifier une exécution[22]. ), ces derniers, surnommés rojos (les « rouges ») par leurs ennemis, s'engagèrent aux côtés des forces armées loyales envers la République espagnole, certains pour défendre la démocratie parlementaire et d'autres pour tenter de constituer des formes alternatives de gouvernement ou provoquer une révolution sociale. Bibliographie et filmographie sur la Guerre d'Espagne, Dictionnaire des guérilleros et résistants antifranquistes, La guerre d'Espagne - 80 ans après - Histoire et mythes, La Syrie n'est pas une autre guerre d'Espagne, Soulèvement nationaliste des 17 et 18 juillet 1936, Bibliographie et filmographie sur la guerre d'Espagne, Protestation devant les libertaires du présent et du futur sur les capitulations de 1937, Spanish Cockpit : Rapport sur les conflits sociaux et politiques en Espagne (1936-1937), Le Labyrinthe espagnol - Origines sociales et politiques de la Guerre civile, Révolution et contre-révolution en Catalogne, La Révolution espagnole : la gauche et la lutte pour le pouvoir, Anarchism: A Documentary History of Libertarian Ideas, Confédération nationale du travail (Espagne), Association internationale des travailleurs, Internationale des fédérations anarchistes, International Working People's Association, Palette Personnes liées au mouvement anarchiste, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Guerre_d%27Espagne&oldid=177444028, Article contenant un appel à traduction en allemand, Page utilisant le modèle Citation avec un retour ligne, Article contenant un appel à traduction en anglais, Article contenant un appel à traduction en espagnol, Page géolocalisable sans coordonnées paramétrées, Conflit militaire géolocalisable sans coordonnées paramétrées, Article manquant de références depuis janvier 2019, Article manquant de références/Liste complète, Page utilisant une présentation en colonnes avec un nombre fixe de colonnes, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Portail:Politique en Espagne/Articles liés, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, 100 000 à 285 000 soldats morts au combat (pertes militaires directes), 10 000 à 15 000 civils morts des bombardements, 20 000 à 80 000 exécutions en zone nationaliste, 20 000 à 86 000 exécutions en zone républicaine, 20 000 à 80 000 exécutions par le gouvernement franquiste entre 1939 et 1943, Les putschistes sont rejoints par les garnisons de, En août, des unités militaires communistes mettent fin à la.

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